Libreville le 21 Février 2022 – ( Dépêches 241 ). Au détour d’une sortie publique de son parti l’UDIS lequel effectuait sa rentrée politique, Hervé Patrick Opiangah, le président du CF Mounana qui a indiqué avoir porté plainte contre le journaliste Français Romain Molina pour les accusations portées à son encontre a également fustigé l’attitude de ce dernier et de certains activistes qui toute honte bue, pour de l’argent, essaient de faire chanter des personnalités en surfant sur cette actualité.
Le président du Centre de formation de Mounana, Hervé Patrick Opiangah dont le nom est cité depuis des semaines dans l’affaire de pédophilie qui ébranle le Football gabonais est finalement sorti de sa réserve le samedi 19 février dernier à l’occasion de la rentrée politique de son parti l’Union pour le Démocratie et l’Intégration Sociale ( UDIS).
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En plus d’avoir annoncé qu’il a saisi les tribunaux français pour ester en justice le journaliste français du média Britannique The Guardian Romain Molina, Hervé Patrick Opiangah a dénoncé le fait que des personnes supposées avoir des preuves manifestes de son implication dans ces crimes odieux, essaient indûment d’obtenir de l’argent en se vautrant dans le chantage. « Molina et tout le reste d’activistes qui ont trouvé pour monnaie d’échange le chantage. Car bon nombre me saisissent en me demandant de payer pour éviter que ne paraisse telle ou telle information », a-t-il indiqué.
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Une démarche et une tentative risible pour le député de Mounana qui estime qu’une telle approche ne fonctionne qu’avec des personnes qui au tréfond d’eux se savent coupables. « Mais pourquoi payer si on se reproche rien. Au nom de quoi ?» s’est-il d’abord questionné avant d’inviter son pourfendeur à apporter ses prétendues preuves devant la justice des hommes. « Si Molina et ses hommes ont des preuves, qu’ils les présentent devant la justice. Le reste suivra car nous sommes à l’heure de la manifestation de la vérité », a-t-il déclaré.
