TRIBUNE

Mays Mouissi: «Non le Gabon n’est pas le pays le plus corrompu d’Afrique centrale»

Depuis quelques jours, des articles de presse et des messages partagés à profusion sur les réseaux sociaux soutiennent que le Gabon aurait été désigné « pays le plus corrompu de la CEMAC » par l’ONG Transparency International à travers l’édition 2021 de son indice de perception de la corruption (IPC). Cependant, ces analyses largement relayées et les conclusions tirées par leurs auteurs sur le positionnement du Gabon au sein de la CEMAC sont erronées. En effet, si ces médias utilisent bien les bonnes données de Transparency international, ils font une mauvaise lecture de son classement. 

Le Débat Misselé Eba’a: Ali Bongo ne sera candidat en 2023…

Tel est le message délivré par le porte-parole de la présidence de la République dans un tweet devenu viral. En effet, il y a quelques jours, alors que le distingué camarade, Ali  Bongo Ondimba, venait de célébrer, en présentiel, le 54ème anniversaire du parti  démocratique gabonais où son ambition politique s’est vue une fois de plus être dessinée en pointillés du fait du flou qui y règne sur son éventuelle candidature, c’est son porte-parole qui s’est offert le plaisir de tracer à l’encre noir les précisions capitales pour le commun des habitants du Gabon. 

Geoffroy Foumboula Libeka: «La République se perd et se PEUR»

En ma qualité de citoyen, encore plus engagé sur les questions civiques et de défense des intérêts des jeunes, je suis singulièrement porté sur les questions d’actualités. Avec beaucoup d’intérêts, j’ai suivi les derniers évènements politico-administratifs marqués par le remaniement du Gouvernement, la nomination des membres des Commissaires de la République, le remaniement du PDG et le concert de célébration du 54ième anniversaire du PDG.

Partis politiques: le CLR affiche ses ambitions pour 2023 

Le Centre des libéraux réformateurs (CLR) a fait part de ses ambitions pour les élections générales de 2023. En effet, ce parti politique de la majorité espère, à tout le moins, faire autant qu’en 2013, année au cours de laquelle le CLR était arrivé en tête dans deux arrondissements sur les 6 que compte Libreville, lors de l’élection municipale.