La problématique du contrôle et de la gestion de la masse salariale reste une question entière car l’Etat, manifestement n’arrive pas à trouver une solution définitive à ce souci lancinant. En témoignent les derniers chiffres rendus publics par la direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT) qui estime à plus 340 milliards la somme investie en salaire au 1er trimestre par l’Etat gabonais