Libreville, le 30 avril 2025-(Dépêches 241). Nommé récemment Inspecteur Général Municipal (IGM) à l’hôtel de ville de Libreville, le Capitaine Crépin d’Assise Owono Bibang n’a pas tardé à prendre ses marques. À l’issue d’une mission d’inspection d’hygiène et de salubrité qui aura duré quelques semaines, le promu a procédé à de nombreuses observations, dont les plus patentes sont: la méconnaissance des textes par les agents contrôleurs, l’obsolescence des textes et la sédentarisation de plusieurs agents au poste de chefs de brigades. Des manques qu’il a résolument décidé de corriger durant son magistère à la tête de cette administration.
Crépin d’Assise Owono Bibang, c’est le nom du nouveau patron de l’inspection générale municipale de l’hôtel de ville de Libreville. Décidé à redonner un nouveau souffle à cette entité, il a d’abord accepté d’assumer le passif de son administration en payant à tout le personnel leurs primes de fin de mission, restées impayées depuis un an. Toujours dans son ambition de rendre ses lettres de noblesse à l’administration dont il est désormais le Chef, Crépin d’Assise Owono Bibang a retiré des brigades tous les agents véreux qui, par leurs pratiques, participaient à ternir l’image de l’Institution.
De plus, le nouvel IGM serait en train de préparer un profond et rigoureux toilettage des textes qui encadrent les activités de son administration, et s’emploierait également à offrir des formations pour le renforcement des capacités des agents de son service. Pour finir, dans l’optique d’apaiser le climat entre les agents municipaux et les opérateurs économiques, le Capitaine Crépin d’Assise Owono Bibang vient de rencontrer tous les syndicats des commerçants avec lesquels il a eu des échanges francs dans l’intérêt de toutes les parties.
Ces multiples actions s’inscrivent dans le but de redonner à l’Inspection Générale Municipale (IGM) de l’hôtel de ville de Libreville son lustre d’antan, mais surtout de maintenir l’exigence d’une administration publique opérationnelle et compétente au service des gabonais.
