Gabon: Laccruche Alihanga évacué en France sous avion médicalisé affrété par Oligui Nguema 

L’ancien DirCab d’Ali Bongo a été évacué en France

Libreville, le 15 juin – (Dépêches 241). Brice Laccruche Alihanga dont le santé déjà fragile s’est considérablement dégradée après plusieurs procès éprouvants a été évacué en France ce jour pour y suivre ses soins. Au regard de la fragilité de la santé consécutive à sa rechute, un avion médicalisé a été mis à disposition, afin de rallier l’hexagone. 

Quelques jours après sa rechute au terme de laquelle il a été placé dans une structure sanitaire de la place, en réanimation puis en soins intensifs, Brice Laccruche Alihanga, ancien Directeur de Cabinet d’Ali Bongo et poursuivi dans le cadre de l’opération scorpion a été évacué ce jour en France, au regard de sa santé chancelante et foncièrement inquiétante depuis quelques jours. 

Extrêmement fragilisé par son cancer, victime du cynisme et l’inhumanité de la justice gabonaise, Laccruche Alihanga dont les procès biaisés, ont à en point douter participé à la dégradation  de la santé, n’a trouvé grâce qu’aux yeux du Président de la Transition qui a pris toutes les dispositions pour que « l’ancien Messager intime » d’Ali Bongo Ondimba soit évacué. 

Brice Laccruche Alihanga avait été conduit nuitamment il y a quelques jours, après que son cancer se soit manifesté par des saignements. Inconscient, il est rapidement pris en charge par une structure de la place. Bien que foncièrement atteint, au comble de l’indignité, la justice Gabonaise a quand-même douté de son état de santé, poussant le vice à son paroxysme jusqu’à demander à aller constater par elle-même l’état presque mortifère de l’homme. 

Par cette évacuation et sa participation personnelle à ce projet, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’Etat, montre son attachement au respect de la dignité humaine, en même temps qu’il consacre la cohérence de ses propos, quand à Oyem, il a fait clairement fait savoir que plusieurs acteurs de l’opération scorpion étaient condamnés à tort, car victimes des règlements de compte.  

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