La ministre de la Justice et des Droits de l’homme a indiqué au sortir de son entretien avec l’état-major de la hiérarchie de la sécurité pénitentiaire qu’elle souhaitait effectuer une cure de jouvence de l’ensemble les établissements pénitenciers du pays. Une décision d’Erlyne Antonela Ndembet motivée par la dernière grogne au sein des détenues femmes au sein de la prison centrale de Libreville.