Au-delà de l’actualité liée à l’audition prolongée de Pierre Alain Mounguengui, président de la Fédération Gabonaise de Football, une réalité est epassée inaperçue. Celle née du fait que celui qu’on présente aujourd’hui comme le complice des pédophiles dans le football gabonais depuis 30 ans était encore, et ce étrangement, de bonne moralité avant le 16 avril, vu que le 14 avril il a été nommé en conseil des ministres en qualité d’Inspecteur géneral au ministère des Sports, sous la proposition de Franck Nguema, ministre de tutelle.