Plus de 700 jours, soit sensiblement 2 ans. C’est en somme la période pendant laquelle, Ossouka Raponda et son gouvernement gardent dans une précarité indicible et presque criminelle, sans remords, sans foi ni loi, plusieurs jeunes gabonais qui ont choisi le football comme métier après avoir interdit la pratique du sport sur le territoire nationale au nom d’une crise sanitaire qui depuis ne s’explique nullement.