Lancée au lendemain de l’arrivée au pouvoir d’Ali Bongo Ondimba, la Société Equatoriale des Mines (SEM) était supposée constituer un un outil d’augmentation des revenus de l’Etat. Près de 12 ans après, cette société tarde à s’affirmer dans la sphère économique de notre pays à telle enseigne qu’elle est réduite aujourd’hui à vivre au crochet d’une autre entreprise qui pour sa survie a dû lui céder des dividendes.