Depuis l’annonce de la rétrocession de l’organisation des élections au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, plusieurs acteurs politiques et ceux de la société civile ne cessent de dire leurs inquiétudes. Cela s’est trouvé encore dit dans la récente sortie de Jean Valentin Leyama, qui estime que l’actuel projet de loi portant organisation des élections au Gabon « enterre tous les acquis démocratiques », au regard de la teneur qui sera la sienne après toutes les modifications qui lui seront apportées.