Libreville, le 25 avril 2024 – (Dépêches 241). Le tour est revenu hier à la commission sociale d’échanger avec le bureau du Dialogue National Inclusif en vue de la validation de leurs conclusions mises sur papier. La veille c’était la commission Économie qui s’était pliée à l’exercice.
Les sous-commissions de la commission sociale sont passées hier mercredi 24 avril par le bureau du Dialogue Nationale Inclusif. Parmi elles, on compte la sous-commission “Formation” une des plus importantes de ce dialogue dont les échanges se sont étalés sur plus de 2h tant il était important pour les commissaires, les membres de ladite sous-commission ainsi que pour le bureau national d’aborder tous les points du rapport. Des débats échaudés, intenses et pleins de pertinence autour dudit rapport.
Des thématiques fortes y ont été abordées telles que l’éducation, le bien-être social, le harcèlement sexuel, la sécurité des apprenants des enseignants et des établissements, la question de la sexualité (l’hétérosexualité notamment). Et ce dans l’optique de donner au sortir du Dialogue National,un nouveau visage du social de notre pays en s’appuyant sur les conclusions du rapport final lui-même inspiré des contributions des populations pour améliorer leur quotidien. « Les débats s’appuient sur les contributions des Gabonais. Chaque contribution est étudiée scrupuleusement », explique Fortuné Edou Essono
C’est cette même commission qui déjà la veille, se prêtait à l’exercice de présenter les grandes lignes qui ont fait l’objet d’un débat hier pendant l’émission “Au Cœur du Dialogue” avec à sa tête la présidente de la commission sociale, Elsa Ayo Bivigou, le Professeur Guy Serge Bignoumba (président de la sous-commission formation) et le Rapporteur Biyambou Pendi.
