Ndjolé: reçu avec faste, Oligui Nguema fait plusieurs annonces et laisse une enveloppe de 1,3 milliards 

Le président de la Transition pendant son séjour à Ndjole © DR

Libreville, le 21 Juin 2024 – (Dépêches 241). Dans le cadre de la poursuite de sa tournée républicaine, le Président de la Transition, Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema séjourne depuis hier vendredi 21 juin 2024 dans la province du Moyen-Ogooué. C’est dans la ville de Ndjolé que le périple migovéen du Chef de l’État a démarré, à travers notamment l’annonce d’une série de mesures importantes qui impacteront significativement les conditions matérielles d’existence des populations de cette localité, ainsi qu’une enveloppe de 1,3 milliards de francs CFA.

Comme dans chaque province où il a déjà séjourné, c’est avec faste et chaleur que le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema a été accueilli à Ndjolé, dans la troisième province du Gabon. Danses, chants, groupes socio-culturels et autres associations, le Chef de l’État a eu droit à un accueil inoubliable dans la ville d’Émane Ntole.

Très touché par la ferveur et la marque de sollicitude des populations de Ndjolé, le Chef de l’État a dans son mot de circonstance annoncé une série de mesures à fort impact social, avec effet immédiat pour certaines. Il s’agit principalement de la réhabilitation du centre de santé, dans un état de vétusté très avancée, des travaux d’aménagement des voiries urbaines, tombées en décrépitude depuis de nombreuses décennies, la construction du port fluvial qui va générer pas moins de 500 emplois directs et indirects au profit de la jeunesse de cette localité, ainsi que la somme de 1,3 milliards de francs CFA.

Le président posant la 1ere pierre du monument Emane Ntole ©DR

Attaché au respect des personnalités politiques et militaires qui ont marqué l’histoire du Gabon, le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema a également procédé au lancement des travaux du futur monument Émane Ntole, fils du terroir, résistant et farouchement opposé à l’administration coloniale, tombé en 1912. 

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