Libreville, le 06 août 2024 – (Dépêches 241). Une fois de plus, la capitale économique fait parler d’elle au travers d’un drame sexuel. Cette fois-ci, il s’agit d’un viol fait sur un jeune garçon de 6ans, par son voisin agé de 18ans au quartier côte, un quartier assez chaud de la capitale économique. Le prédateur sexuel sera très vite remis entre les mains de la police et placé sous mandat de dépôt à la prison de la dite localité après son passage chez le juge.
Encore un drame sexuel qui éclate à Port Gentil. L’on en vient à se demander aujourd’hui les causes réelles d’une telle récurrence des crimes sexuels dans la capitale économique. Le dernier en date est celui de ce jeune gabonais âgé de 18 ans qui a jeté son dévolu sur son petit voisin de 6 ans, venu regarder la télévision chez lui. Selon les faits relatés par le jeune prédateur sexuel, la victime se serait rendue chez lui ce 20 juillet pour regarder la télévision comme il en avait souvent l’habitude.
En effet, les familles des deux garçons se connaissaient et entretenaient de bons rapports de voisinage. Mais ces derniers ne se doutaient des penchants sexuels et des pulsions homosexuelles et pédophiles du jeune homme de 18 ans. Une fois seul avec l’enfant de 6 ans, le propriétaire des lieux va profiter de cette occasion pour abuser du mineur. « Je ne sais pas ce qui m’a poussé à lui dire de s’allonger sur le canapé, avant de me déshabiller, de lui dire d’ôter à son tour son pantalon et d’entretenir des rapports sexuels avec lui » , va expliquer le jeune homme devant la police judiciaire.
Il ajoutera par la suite qu’il ne s’est réellement arrêté qu’au moment où il a entendu l’enfant de 6 ans pleurer. Le jeune homme très vite ratrappré pour son acte ignoble et contre nature est immédiatement passer devant le juge et a été déféré à la prison centrale de Port-Gentil dans l’attente de son procès pour « sodomie sur une victime vulnérable, naive et inoffensive », a-t-on pu lire chez nons confrères de L’Union.
Il faut dire que malgré les efforts des législateurs à durcir les sanctions contre les crimes sexuels sur mineurs, les cas de viols sont encore légion. Cela constitue de ce fait un véritable cheval de bataille pour la justice gabonaise et surtout la cellule familiale qui devrait redoubler de vigilance, afin de protéger les enfants.