Libreville, le 13 décembre 2024 – (Dépêches 241). Le sélectionneur national des Panthères du Gabon, Thierry Dieudonné Mouyouma, était face à la presse ce vendredi 13 décembre 2024, à l’effet d’échanger avec les professionnels des médias sur son bilan, son management et ses perspectives d’avenir. Parmi les sujets évoqués, les prétendues frictions entre le coach et le gardien Jean Noël Amonome. Des rumeurs que Thierry Mouyouma a très vite démenties.
Comme l’année dernière à la même époque, le coach des Panthères du Gabon et son staff ont tenu à échanger avec les femmes et les hommes des médias, en vue de clairement édifier l’opinion sur le bilan, le management et les perspectives de l’actuelle équipe dirigeante de la sélection nationale. Et parmi les questions soulevées, la rumeur d’un antécédent avec Jean Noël Amonome est revenue.
Thierry Mouyouma a formellement démenti des prétendues frictions avec le gardien de but. « Quand vous faites des investigations, faites-les jusqu’au bout. Votre rumeur est-elle fondée? Cet antécédent aurait eu lieu où ? », s’est d’abord interrogé le sélectionneur national, avant de poursuivre « Amonome, de mémoire quand il arrive au Gabon c’est moi qui le lance. Il n’avait jamais joué dans un club avant 105. J’ai fait de lui un international U20 », a renchéri l’ancien international et capitaine du FC 105.
Toujours pour balayer les rumeurs d’un supposé antécédent avec l’international gabonais qui n’est plus convoqué depuis un an, le sélectionneur national a évoqué un récent épisode à Durban, en Afrique du Sud. « Récemment à Durban, il est venu me voir à l’hôtel, nous avons discuté chaleureusement et il m’a même présenté à son fils. Dans l’hôtel la veille et après le match, nous avons échangé. As-tu un club ? Non », a ajouté le coach Thierry Mouyouma.
Pour finir, le sélectionneur a même évoqué le travail qui est en train d’être fait pour trouver à l’ancien gardien du FC 105 un club entre la France et les États-Unis. « Nous avons travaillé sur deux pistes pour Amonome en France et aux États-Unis. Quand j’étais au Burkina on a voulu l’emmener, mais nous ne sommes pas tombés d’accord sur le salaire et le Burkina ne l’intéressait pas à cette époque. À quel moment donc je me serais frictionné avec celui que nous appelons communément Yao ? », a conclu l’entraîneur des Panthères.