Libreville, le 4 août 2024 – (Dépêches 241). Hervé Patrick Opiangah, personnalité majeure du paysage politique et économique gabonais, a déposé une plainte pour diffamation, injures publiques et atteinte à l’honneur contre Stéphane Nzeng et Landry Amiang Washington. Ces deux activistes ont à moult reprises, sur la place publique et via les réseaux sociaux, distillé des informations peignant le Président de l’UDIS comme un vulgaire nervis, un homme de basse moralité, lui affublant même des crimes les plus crapuleux tels que des assissinats et la pédophilie.
Hervé Patrick Opiangah semble résolument décidé à laver son image dans l’opinion et à restaurer sa personne après qu’elle eut été pendant des années salie, travestie et souillée par des compatriotes aux desseins non encore connus à ce jour. Alors qu’il vient de poser un acte hautement patriotique en portant plainte contre X pour Haute Trahison dans le scandale d’Etat de l’affaire WebCor ITP à l’État Gabonais, le natif de Mounana entend préserver intacte sa réputation et son honneur, en estant en justice cette fois-ci des compatriotes qui ont pris la liberté de le diffamer en posant de nombreux actes de salissures à son endroit. C’est en cette occurrence qu’il a déposé une plainte au pénal à l’endroit de deux activistes que sont Landry Amiang Washington et Stéphane Nzeng qui depuis des années, se sont inscrits dans une logique visant à salir systématiquement Hervé Patrick Opiangah, lui attribuant des faits d’une extrême gravité comme des crimes de sang ou encore des détournements de deniers publics.
Accusation de Pédophilie et d’assassinat
En outre, dans un passé récent, notamment dans l’affaire dénommée « CapelloGate » impliquant de nombreux responsables du football Gabonais dans un vaste scandale de pédophilie, le nommé Stéphane Nzeng avait également accusé le citoyen Hervé Patrick Opiangah, par ailleurs Président du Centre de Formation de Mounana (CF Mounana), d’être à la tête d’une robuste mafia, avec en son sein des pédophiles qui n’ont d’yeux que pour les jeunes footballeurs qui ne souhaitent que pratiquer leur métier. Des révélations qui avaient eu un écho retentissant, puisque la FIFA, l’instance faîtière du football mondial, avait aussitôt diligenté des enquêtes pour établir les responsabilités de tout un chacun.
Plus proche, c’est par le biais d’une autre vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux que Stéphane Nzeng, revenue en grâce au sein de la Transition, a accusé l’ancien Ministre d’avoir été l’auteur et l’instigateur de plusieurs crimes odieux, d’assassinat avec en prime une appétence pour le sang de ses prétendues victimes qu’il boirait selon Stéphan Nzeng. Dans la même veine, ce dernier avait relevé que l’ancien député aurait eu une relation sexuelle avec l’ancien Chef de l’Etat dès l’âge de 15 ans toi autant qu’ils lui ont toujours attribué une certaine responsabilité dans les massacres post-électoraux de 2016. Des accusations d’une extrême gravité qui ont poussé Hervé Patrick Opiangah, dont la capacité de résilience, la tolérance et la patience ont été éprouvées, à traîner ces compatriotes devant les tribunaux.
Résultat, après une audition, les deux compatriotes ont été signifiés de leur interdiction de quitter le territoire par le biais d’une « ordonnance portant interdiction de quitter le territoire » délivrée par le premier juge d’instruction du Tribunal de 1ere instance de Libreville.
L’heure de la manifestation de la vérité ?
À charge désormais pour les auteurs de ces propos d’apporter devant les juridictions les preuves de leurs allégations et accusations car Hervé Patrick Opiangah se dit décidé à laver son honneur trop bafoué sur la place publique. Pour preuve, ce dernier a indiqué au juge d’instruction être prêt à subir un examen médical pour battre en brèche les allégations de Stéphane Nzeng. Une occasion pour la justice gabonaise déjà attendue dans le dossier WebCorp de s’exprimer et de rendre justice en faisant éclater jaillir la vérité dans cette seconde affaire portée devant les tribunaux par Hervé Patrick Opiangah.
Une affaire qui pourrait faire jurisprudence par son épilogue et ainsi réfréner les velléités de diffamation et de délation dans lesquelles se sont vautrés de nombreux compatriotes qui se sont spécialisés dans la distillation d’informations mensongères avec pour seul but de salir et porter atteinte à l’honorabilité de certaines personnalités. Cette plainte en définitive souligne une fois de plus le courage dont fait montre Hervé Patrick Opiangah par son obstination résolue à réhabiliter sa personne et couper court à toutes supputations et accusations infondées qui ont cours sur sa personne depuis des décennies.
A ce titre la justice doit faire son travail surtout avec équité, pour mettre fin à ces faits qui ne grandi personnes