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Les Etats Unis ont pris la décision de suspendre une tranche de l’aide financière octroyée au Gabon. Une décision prise moins de 48 heures après la présence au siège des Nations Unis à New-York du 1er ministre Raymond Ndong Sima qui s’est pourtant employé à expliquer les bienfaits de la prise de pouvoir en tous points salutaire par les militaires.
Ce mardi 26 septembre, dans le prolongement de ses rencontres avec les opérateurs économiques du ministère dont il a désormais la charge, Hervé Patrick Opiangah a reçu en séance de travail les investisseurs chinois de la Compagnie Industrielle et Commerciale de HuaZhou (CICMHZ). Cette entreprise, représentée par son vice Chairman le Dr Lin Ping, est allée présenter au nouveau ministre des Mines, les activités relatives à l’exploitation du manganèse, et le projet d’un grand laboratoire d’analyses des minerais à mettre en place au Gabon.
Nommé le 21 septembre dernier par le Comité de transition, Pierre Duro a de nouveau été porté à la tête de la Task Force sur la dette intérieure et extérieure réactivée par le nouveau pouvoir de Libreville. Une nomination controversée pour plusieurs observateurs avisés de la politique Gabonaise au regard du pedigree de cet expert judiciaire français de 74 ans connu pour son appétence maladive pour les pots de vins et les rétrocommissions. Des attitudes en raison desquelles il avait été écarté et remercié après son échec dans la conduite de la Task Force sous le régime déchu d’Ali Bongo Ondimba
Le ministre des Mines a accordé une audience ce jeudi 21 septembre à une délégation du groupe Eramet conduite par son directeur des opérations Kléber De Souza E. Silva et à laquelle prenait également part Leod Paul Batolo, Administrateur Directeur Général de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog). Au cours de cet entretien, il a essentiellement été question pour le groupe Eramet de prendre langue avec Hervé Patrick Opiangah et de présenter, dans le même temps, les activités du groupe Eramet au nouveau patron de mines du Gabon.
C’est par le biais d’un communiqué de presse parvenue à notre rédaction que le gouvernement à travers le ministère de Mines a acté la levée de la mesure de suspension temporaire de toutes les activités d’orpaillage, de recherche et de production d’or sur l’ensemble du territoire national. Une décision salutaire qui vise, d’une part, à sortir les populations rurales de la précarité du fait de la suspension susvisée et à susciter un intérêt des nationaux pour les métiers de l’or en vue d’aboutir à terme, à la nationalisation de ce secteur
Ayant fait de la lutte contre le détournement des fonds publics l’une de ses priorités, il est grand temps que le Comité de Transition et de la Restauration des Institutions (CTRI) s’intéresse à la gestion des fonds octroyés pour la lutte contre la Covid-19, dont la société civile appuyé par le rapport du cabinet indépendant Deloitte, révèlent plusieurs irrégularités qui poindre l’idée que plusieurs hauts commis de l’Etat ont sauvagement détournés les fonds affectés à cette crise.
Citoyen gabonais et acteur économique, Blanchard Andoume qui comme de nombreux compatriotes a suivi avec une principale attention les projets proposition des différentes candidats postulants à la fonction présidentielles. Des projets selon lui, amputés de réelles propositions sur la question centrale de la transformation des matières premières dans l’économie gabonaise. Dans cette tribune, il livre quelques propositions sur le sujet.
Inscrit dans une dynamique de communication régulière avec les médias à l’effet de rendre public les avancées de ses actions et ses projets, le Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques (FGIS ) à travers son directeur général Akim Mohamed Daouda, à la faveur d’une rencontre avec la presse ce jeudi 10 août, a présenté les enjeux de la stratégie de sa structure à l’horizon 2020-2025.
Document consolidé par toutes les parties prenantes, le recueil des textes législatifs et réglementaires du secteur extractif du pays a été officiellement présenté ce vendredi 4 août par le collège de l’administration publique de l’ Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives ( ITIE). De même que le répertoire national des acteurs des industries extractives.
C’est ce que nous révèle la campagne gouvernementale intitulée « Pour vous » qui a pour vocation d’édifier l’opinion sur le bilan du gouvernement gabonais à quelques mois des échéances électorales prévues en août prochain. Ladite campagne nous révèle que depuis sa création, la Zone économique spéciale de Nkok a créé plus de 8 000 emplois directs et 12000 emplois indirects.
