Élections générales : Les candidats doivent respecter la charte de bonne conduite 

Grâce Emmanuella Engouang, porte parole d’Ali Bongo Ondimba © DR

La campagne prendra fin ce vendredi 25 août, les votes se feront et les résultats seront connus par la suite.Le sens de mon message aujourd’hui en tant que Porte Parole du Candidat Ali pour tous est de rappeler aux uns et autres que nous vivons dans un pays attaché au dialogue, aux valeurs démocratiques et compréhension mutuelle. Il nous faudra donc continuer d’évoluer dans la respect des règles, le respect des institutions et le respect de chacun de nos compatriotes, peu importe leurs convictions.

Dans ce contexte il me plaît de rappeler à tous les candidats engagés pour la présidentielle qu’ils ont signé, le 8 août dernier, une charte de bonne conduite à la Haute Autorité de la Communication (HAC). Cette charte nous interpelle sur la nécessité de la Préservation de l’État de droit car le respect de la charte renforce l’État de droit en montrant que les règles et les normes prévalent sur les intérêts individuels.

Cela envoie un message clair que personne n’est au-dessus de la loi et que tous sont soumis au même cadre légal. De ce fait, les candidats se sont engagés à veiller à leurs messages face aux médias, évitant les discours haineux, tribalistes, xénophobes, racistes, pouvant mettre à mal la cohésion nationale.

En somme, le respect de la charte de bonne conduite dans le cadre des élections présidentielles est essentiel pour préserver la démocratie, renforcer la confiance de nos citoyens, éviter les tensions entre gabonais et les conflits, ainsi que pour maintenir la crédibilité tant au niveau national qu’international. C’est un engagement en faveur d’un processus électoral équitable et transparent, qui place les intérêts du peuple et de la nation au premier plan.

Dans ce cadre, le président Ali Bongo Ondimba , en tant que garant de la paix a dit tout son devoir d’être attentif à la préservation de celle-ci, il a fait le constant suivant : « Comme président de la République, j’entends aujourd’hui des voix qui, inconscientes, appellent à la discorde et à la violence. Ces voix insultent nos anciens qui bâtirent notre maison commune. Président de la République, je suis garant de la paix, de la sécurité de tous et de l’unité du Gabon. Cette unité gabonaise est celle des Bantous et des autres peuples qui foulent notre terre sacrée ».

Ayons nos opinions, choisissons nos candidats, respectons les résultats des urnes, choisissons toujours le chemin de la paix, restons « unis dans la concorde et la fraternité ».

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