Setrag: Un passager décède à nouveau à bord d’un train

La Setrag enregistre un autre décès dans ses trains  ©DR

Libreville le 5 mai 2022 – ( Dépêches 241). C’est par le biais d’un communiqué de presse parvenu à la rédaction de Dépêches 241 que la société d’exploitation du Transgabonais (Setrag) a annoncé le décès d’un passager à bord de son train n°290. Un nouveau décès qui intervient après celui enregistré par la même société en février dernier.  

Comme il y a quelques mois plus précisément en février après la mort d’un passager au sein de son train n°733, la société d’exploitation du Transgabonais (Setrag) vient à nouveau d’annoncer un autre décès survenu ce 4 mai. « La Setrag annonce le décès de Monsieur Alban Romaric LENGATA SIBA survenu à bord du train de voyageurs N° 290, le mercredi 04 mai 2022, à la gare d’Abanga », indique le communiqué dont Dépêches 241 a reçu copie. 

Selon les informations véhiculées par le Setrag, le regretté Romaric Lengata Siba était dans les faits en parfaite santé au moment de son embarquement à la gare de Libreville. « Monsieur Alban Romaric LENGATA SIBA âgé de 39 ans ne présentait aucun signe de détresse lors de son embarquement à la gare de Franceville. Accompagné d’un groupe d’amis, il a effectué un voyage sans incident particulier avant de soudainement souffrir d’un malaise », poursuit le communiqué. 

Une fois le malaise constaté et nonobstant la prise en charge par une équipe d’infirmières, Alban Romaric Lengata Siba est passé de vie à trépas. « Le chef de bord a immédiatement demandé l’intervention urgente d’une équipe d’infirmières, afin de lui porter assistance. Il est malheureusement décédé, alors qu’elles mettaient tout en cure pour le réanimer. Les proches qui accompagnaient Monsieur LENGATA SIBA ont communiqué la nouvelle de son décès à sa famille », a-t-on pu lire. 

Si la société d’exploitation du Transgabonais (Setrag) a présenté ses condoléances dans son communiqué, il convient de nous interroger sur ces drames qui tendent à devenir récurrents dans les trains surtout que celui-ci n’est pas le premier et ironie du sort c’est toujours à la gare d’Abanga que ces faits se produisent. 

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