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Le Parti Démocratique Gabonais (PDG) est sorti de sa réserve hier par le biais d’un point de presse animé par David Ella Mintsa. Le conseiller du Distingué Camarade Président du parti du pouvoir dénonce une prétendue montée de xénophobie dans la société gabonaise et appelle ainsi les auteurs de cette attitude à faire preuve de mesure et de responsabilité.
Biendi Maganga Moussavou est soupçonné de vouloir porter atteinte à l’unité du parti démocratique gabonais (PDG) dans la ville de Mouila, capitale provinciale de la Ngounié. Une posture à rebours des recommandations du chef du parti, Steeve Nzegho Dieko, lequel invite l’ensemble des militants à l’unité, dans la perspective des échéances électorales à venir.
Le week-end dernier, le maire de la commune d’Oyem a été destitué à la suite d’une motion de défiance introduite par une partie des conseillers municipaux. Chose surprenante toutefois, cette fronde a été menée par les élus du Parti Démocratique Gabonais, formation politique à laquelle appartient Christian Abessolo Menguey, l’édile destitué. Un « assassinat » politique en règle, qui en dit long sur le climat délétère qui règne dans la famille PDG à Oyem.
Ce dimanche 2 avril à l’occasion de la célébration en différé des festivités du 55e anniversaire du Parti Démocratique Gabonais (PDG), Ali Bongo s’est exprimé pour la première fois sur les circonstances de son accident vasculaire cérébral survenu en octobre 2018. Le président de la République en a profité pour remercier les Gabonais qui l’ont soutenu et accompagné dans sa convalescence.
Pour son 55ème anniversaire, le parti démocratique gabonais a tenu à marquer le coup. Une célébration grandeur nature au palais des sports de Libreville marquée par un discours galvanisant d’Ali Bongo et une forte mobilisation.
À 24 heures de la célébration en différée, des 55 ans d’existence du Parti Démocratique Gabonais, Steeve Nzegho Dieko, le Secrétaire général de cette formation politique a inauguré ce samedi, une bibliothèque. Celle-ci est située dans les locaux du parti à Louis et a pour ambition de préserver la mémoire et le patrimoine du parti au pouvoir.
Décidé à implémenter une nouvelle dynamique basée sur l’union et un engagement sincère au tour de la future candidature du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, le duo Nzegho Diecko et Mvourandjiami a, au cours du dernier congrès, démontré sa capacité de mobilisation et sa mainmise évidente dans la réorganisation du parti au pouvoir.
L’état major du Parti Démocratique Gabonais (PDG) s’est retrouvé les 23 et 24 décembre dernier à au stade de l’amitié pour le congrès ordinaire du parti au pouvoir. Le 12e du genre. Congrès au cours duquel, son Secrétaire général, Steeve Nzegho Dieko, n’a pas fait d’illusion sur les attentes du parti et sur les ambitions d’Ali Bongo Ondimba appelé à briguer un nouveau mandat, du fait de son statut naturel du parti au pouvoir.
Si la mobilisation de la jeunesse n’a pas été le point fort des congrès provinciaux, le parti démocratique gabonais (PDG) vient de tendre à nouveau la perche à Jesson Ayenoue. Ce dernier a été nommé à la vice-présidence de la commission mobilisation et animation du 12è congrès ordinaire de parti de masse prévu fin décembre. Sans doute un ultime test avant une possible épuration de l’UJPDG
Le parti démocratique gabonais (PDG) a tenu des conseils provinciaux le weekend écoulé avec l’objectif de rendre intelligible par tous les militants, la notion de « Renaissance », signe du nouveau départ pour le parti au pouvoir, à quelques semaines du grand congrès prévu le 24 décembre et à quelques mois des élections générales de 2023.
