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Depuis la résurgence des cas covid observés dans certains pays occasionnés du reste par le récent pèlerinage à la Mecque, le Gabon par le billet du Ministère de Santé s’est attelé à observer de près la situation épidémiologique du pays. Sur la base du dispositif sanitaire mis en place ce sont à ce jour 7 cas positifs au virus SARS-COV-2 qui ont été détectés à l’aéroport de Libreville.
C’est dans un communiqué de presse que le Ministre de la Santé, le Pr Adrien Mougougou a tiré la sonnette d’alarme sur la situation épidémiologique alarmante liée à la covid-19 certains pays occidentaux et africains. Le récent pèlerinage à la Mecque serait un point de contraction pour de nombreux voyageurs ayant été exposés à la Covid-19.
Les Assises nationales sur la vie chère se sont achevées le jeudi 13 avril dernier. Plusieurs résolutions ont été prises à cet effet avec consigne de les mettre en application incessamment. C’est le cas du transport, domaine pour lequel les panélistes ont suggéré le retour dans prix pratiqués par les transporteurs en commun avant le covid-19.
Le Secrétaire général du Parti Démocratique Gabonais (PDG) a achevé sa tournée nationale dans la province de l’Ogooué-Lolo le 29 octobre dernier. Province dans laquelle, il a tenu à la fois un discours pacificateur, non sans adresser quelques vérités aux militants qui se vautrent dans la perfidie et le complotisme à quelques mois des élections générales.
Le rapport d’audit du cabinet Deloitte concernant la gestion des Fonds Covid-19 rendu public le 21 juin dernier, a révélé de graves irrégularités, laissant planer de forts soupçons de détournements de fonds estimés à plusieurs milliards de FCFA. Et pourtant, les principaux responsables du Copil ne font l’objet d’aucune procédure judiciaire. Tout le contraire des Bla-Boys qui eux, ont subi les foudres de la justice pour des faits pourtant similaires.
Le procès des Bla Boys a révélé au grand jour, les lacunes du système judiciaire Gabonais, finalement incapable de se départir de sa relation incestueuse avec l’exécutif pour permettre la manifestation de la vérité. Ceci, sous le regard apathique, voire complice de Erlyne Antonella Ndembet, la ministre de la Justice, que certains observateurs ont rebaptisé ironiquement la ministre de l’Injustice.
Le gouvernement s’est réuni en conseil des ministres ce mercredi 29 juin. Un conseil des ministres présidé par le président de la République Ali Bongo Ondimba au cours duquel il été recommandé aux populations compte tenu du retour fulgurant de la Covid-19, de renouer avec le port du masque dans les lieux publics, la vaccination et le dépistage volontaire.
C’est une entorse manifeste au code des marchés publics. En effet, dans le cadre de la riposte contre la covid-19, plusieurs contrats passés avec les entreprises ont été établis de gré à gré, faisant naître des soupçons de détournements de fonds publics.
Guy Patrick Obiang Ndong est sommé de poser sa lettre afin de se mettre à la disposition de la justice, car soupçonné d’avoir fait main basse sur les fonds mis à la disposition du copil dans le cadre de la lutte contre la Covid-19.
Au cours d’une conférence de presse qu’il a animée vendredi dernier, Geoffroy Foumboula Libeka a livré son analyse, au sujet du rapport d’audit de la gestion des fonds Covid réalisé par le cabinet Deloitte, à la demande du gouvernement Gabonais. Au regard des nombreuses irrégularités constatées après analyse dudit rapport, le porte-parole du Copil citoyen a exigé la mise en examen du Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, par ailleurs Coordinateur général de la riposte contre la Covid-19.
