Plus de 700 jours, soit sensiblement 2 ans. C’est en somme la période pendant laquelle, Ossouka Raponda et son gouvernement gardent dans une précarité indicible et presque criminelle, sans remords, sans foi ni loi, plusieurs jeunes gabonais qui ont choisi le football comme métier après avoir interdit la pratique du sport sur le territoire nationale au nom d’une crise sanitaire qui depuis ne s’explique nullement.
EDITORIAL
Gabon: Daouda Mouguiama ou La fermeté de l’échec
La fermeté de l’échec. C’est visiblement la posture qu’a choisi d’adopter notre ministre de l’Éducation nationale au regard des insuffisances et de l’impuissance dont il fait montre dans la conduite des ses deux départements ministériels et dans la gestion de la crise qui émaille l’Education Nationale et l’Enseignement Supérieur.
Présidentielles 2023 : Que va faire Alain Claude Bilie-Bi-Nze ?
C’est probablement en ce début d’année 2022, c’est-à-dire à une année de l’élection présidentielle, la question que se posent de nombreux pédégistes, et particulièrement ceux encore capables d’influencer le sommet du pouvoir. Si on tient aujourd’hui pour crédible la possibilité d’un tel questionnement, c’est qu’à l’évidence, l’actuel ministre d’État en charge de l’Énergie et des Ressources Hydrologiques perturbe la sérénité habituelle des Pédégistes. Il dérange dirait-on. Et cela pour bien de raisons.
Dernière décision de la Cour Constitutionnelle: Quelles leçons en tirer ?
Les récentes mesures gouvernementales sont actuellement le terreau d’un affrontement sans merci entre le gouvernement et le Copil Citoyen. Un affrontement arbitré par la Cour Constitutionnelle et sa décision du 24 décembre dernier, dont il faut nécessairement tirer les enseignements.
Foire aux petits prix : une énième preuve de l’inconsidération du peuple Gabonais par le gouvernement ?
La « Foire aux petits » encore appelés « Le panier de la ménagère aux petits prix » est la nouvelle lubie du gouvernement gabonais en tête desquels Ossouka Raponda, Cheffe du gouvernement, qui incapable d’initier une politique sociale pertinente et efficience, se vautre honteusement dans des inititives sociales surfaites et de façade qui n’ont pour seul objet que d’infantiliser davantage le peuple Gabonais.
Gestion de la Covid-19 au Gabon: Près de 2 ans de Violence et d’Hypocrisie
Notre société est plus que jamais une société de violence et d’hypocrisie. Et cela n’a rien d’un jugement maladroit ni partisan. Tout au contraire, l’observation de la réalité oblige à le penser.
L’église à l’école
Libreville, le 6 décembre 2021 (Dépêches 241). La prégnance du fait religieux dans la société gabonaise a suscité l’intérêt de notre éditorialiste, qui nous livre une analyse. Lecture
Exclusion abusive des élèves professeurs de l’ENS: A quand la justice ?
La grève de la faim entamée le lundi 22 novembre par quelques étudiants (élèves-professeurs) à l’Ecole Normale Supérieure (ENS) de Libreville remet au goût du jour la problématique de l’injustice au sein de nos universités et grandes écoles.
Affaire Stéphane Nguéma: la sortie puérile de Franck Nguema qui fait une hiérarchisation entre vrais et faux patriotes
Réagissant aux incidents de Franceville et à la sortie de Didier Ndong Ibrahim qui a décidé de soutenir la reprise du championnat national, Franck Nguema s’est fendu d’une publication pour le moins ahurissante et sidérante pour un ministre qui plus est, de tutelle. Une sortie empreinte de dérision, d’effronterie et portant en elle les germes de la désunion. Car en hiérarchisant selon lui et selon sa sensibilité, les supposés Gabonais vrais patriotes des faux patriotes, le ministre des Sports a fait le choix dangereux, de porter ce débat à la lisière de la division
Propos « tribalistes » de Max Anicet Koumba : à qui profite le crime ?
Les propos tenus par monsieur Max Anicet Koumba, ex président du Rassemblement des Gaulois (RG), puisqu’aujourd’hui suspendu de toute activité politique, n’ont pas manqué de susciter des vives réactions d’indignation. Ils en suscitent encore d’ailleurs. Et la plus énergique d’entre elles a sans doute été celle du ministre de l’Intérieur, monsieur Lambert Noël Matha. Samedi dernier, dans un ton solennel, il a qualifié « d’ignobles » ces propos en exigeant en outre des excuses publiques de la part de l’intéressé sous peine de poursuites judiciaires