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Sous la présidence de Pierre Alain Mounguengui, la Fédération Gabonaise de football a tenu vendredi dernier son premier Comité exécutif de l’année 2024. Cette rencontre a permis au “board” de l’instance faîtière du football Gabonais, de faire le bilan de l’année écoulée tout en fixant les perspectives pour celle à venir.
Hier mercredi, Pierre Alain Mounguengui a animé une conférence de presse à Libreville. Au lendemain du dernier rassemblement de l’équipe nationale, le président fédéral a passé en revue en ensemble de questions touchant l’actualité du football Gabonais.
De retour à Tchibanga après avoir été injustement incarcéré à la prison centrale durant près de 6 mois, Pierre Alain Mounguengui, a été accueilli par une marée humaine, heureuse de retrouver celui que l’on appelle affectueusement l’enfant du pays.
Le président de la Fédération Gabonaise de Football est depuis le 18 novembre dernier à Doha au Qatar où il assiste à la réunion du comité exécutif de la Fédération Internationale de Football (FIFA). Pierre Alain Mounguengui dont l’agenda est manifestement chargé enchaîne ainsi une autre activité après avoir présidé et lancé deux jours avant les travaux de l’atelier de validation du document d’orientation stratégique sur la lutte contre le harcèlement et les abus sexuels dans le milieu du football Gabonais.
Incarcéré en avril dernier dans le cadre de l’affaire Capello pour des faits supposés de complicité passive,, Pierre Alain Mounguengui, président de la Fédération Gabonaise de Football (Fegafoot), a été libéré ce jour au terme après demande liberté provisoire déposée par ses conseils et accepté par la justice gabonaise.
Le président de la Confédération africaine de football, Patrice Motsepe et son Secrétaire général, Veron Mosengo-Omba sont depuis quelques heures à Libreville, où ils seront reçus ce vendredi par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Une rencontre au sommet, qui intervient dans un contexte marqué par l’incarcération depuis près 4 mois à la prison centrale de libreville, de Pierre Alain Mounguengui, le président de la Fédération Gabonaise de football.
Accusé de complicité passive dans la tristement célèbre affaire de pédophilie qui a ébranlé le football gabonais, Pierre Alain Mounguengui séjourne depuis le 27 avril dernier, à la prison centrale de Libreville. Près de deux mois après sa mise en détention préventive, il s’impose la nécessité de tirer quelques leçons
La commission de recours de la Fédération Gabonaise de football a rendu ce mardi son verdict, suite au recours en annulation qui avait été déposé par Jérôme Efong Nzolo, au terme de l’élection du Comité exécutif de l’instance faîtière du football Gabonais. Ainsi, la commission a rejeté l’appel du candidat malheureux, ava
Interpellé par la Confédération africaine de football au sujet des réelles motivations qui sous-tendent l’incarcération de Pierre Alain Mounguengui à la prison centrale, Franck Nguema a par le biais d’un courrier apporté des éclaircissements, à l’instance faîtière du football africain. Ainsi pour le ministre des Sports, l’ancien arbitre international aurait été placé en détention préventive car, il serait suspecté d’être un complice passif dans le scandale de pédophilie, qui alimente la polémique depuis plusieurs mois dans le milieu sportif Gabonais.
48 heures après l’incarcération de Pierre Alain Mounguengui à la prison centrale de Libreville, la Confédération Africaine de Football (CAF), a adressé un courrier au ministère des Sports, dans le but d’être informé des véritables raisons qui justifient, la mise en détention préventive de l’ancien arbitre international, élu deux semaines plus tôt à la tête du Comité exécutif de la Fédération Gabonaise de football.
