Média d'actualité Politique, Économique, Sociale et Internationale
Annoncées dans la matinée sur la page officielle du Ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, Chargé de la Formation Civique et même par Camélia Ntoutoume Leclerc, les délibérations du baccalauréat session 2024 continuent de se faire attendre par les nombreux candidats, désormais en état de colère. Chose étonnante, la tutelle n’a toujours pas communiqué sur les raisons de ce retard, abandonnant désormais l’opinion à toutes sortes d’interprétations et fantasmes
D’ordinaire active politiquement dans l’Estuaire et plus précisement dans le Komo-Mondah, Camélia Ntoutoume Leclerc semble depuis l’ère du CTRI avoir abandonné son fief de Ntoum pour se rabattre avec malice et finasserie dans la Ngounié Sud où elle se découvre de nouvelles origines.
Le 4 décembre dernier, sur les antennes de Gabon 24, contre toute attente, la ministre de l’Education nationale Camélia Ntoutoume Leclerc a informé l’opinion des nouvelles conditions d’octroi des bourses. Dorénavant, il faudra obtenir des moyennes de 11 puis 12 selon que l’on soit au 1er ou au second cycle. Une décision qui a très vite suscité le débat au sein de l’opinion et même des contestations dans la rue.
Le 15 mai dernier à Ntoum, Camélia Ntoutoume Leclerc et Julien Nkoghe Bekale ont tenu plusieurs causeries dans les fédérations du 1er arrondissement de cette commune. A Nyamoro, Nzeme et Meyang, la membre du gouvernement et le néo-président du CESE ont, à l’instar d’autres personnalités politiques de la majorité, invité la population à soutenir Ali Bongo Ondimba. Une invite justifiée non pas sur la base du bilan de ce dernier ou sur l’amélioration des conditions des Gabonais, mais dans le seul but égocentrique de maintenir leurs privilèges nés des nominations à des postes de responsabilités.
