Santé

Makokou: Ali Bongo supervise les manoeuvres médico-militaires dans l’Ogooué-Ivindo

Le chef de l’État Ali Bongo Ondimba s’est rendu le 20 avril à Makokou pour la supervision de la campagne médico-militaire qui a débuté le même jour dans la province de l’Ogooué-Ivindo. Ces manœuvres médico-militaires visent à rapprocher l’armée des populations en même temps qu’elles permettent de faciliter l’accès aux soins de santé de qualité aux populations de l’arrière pays.

Rupture des antirétroviraux : Les associations des PVVIH d’Afrique centrale et de l’ouest de s’indignent de l’inhumanité du gouvernement gabonais

Libreville, le 20 avril 2022 (Dépêches 241). La rupture des antirétroviraux que connaît le Gabon actuellement inquiète au-delà de ses frontières. En effet, les associations des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) d’Afrique centrale et de l’ouest se sont récemment indignés que le gouvernement gabonais. Elles estiment que ce dernier fait preuve d’inhumanité envers cette frange de la population.

Depuis plus de 4 mois, environ 24000 PVVIH au Gabon sont privées de traitement. Une situation qui n’a pas laissé insensibles les associations des PVVIH d’Afrique centrale et de l’ouest. Lesquelles ont exprimé leur indignation dans un récent courrier consulté par notre confrère Gabon’actu. « Au Gabon, des milliers de personnes se retrouvent privées du droit élémentaire des personnes vivant avec le VIH dépistées : le droit au traitement ARV », rappellent les auteurs du courrier.
Pour lesdites associations, la fourniture des antirétroviraux aux PVVIH doit s’ériger au rang des priorités du gouvernement. Or, ce gouvernement est manifestement incapable de se procurer ces médicaments auprès de son fournisseur habituel. Une source rapporte que le fournisseur indien exige du Gabon qu’il s’acquitte d’une ardoise abyssale d’un milliard de FCFA avant de procéder à une nouvelle livraison de médicaments.

Véritable coup dur pour le ministre de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang qui promettait de faire acheminer les précieux médicaments dans un délai de deux semaines. Oubliant sans doute que le pays est asphyxié financièrement après deux ans de crise sanitaire liée au Coronavirus.

Rupture d’antirétroviraux: Déjà 4 mois sans traitements, les personnes vivants avec le VIH dans le couloir de la mort

4 mois, c’est en substance le nombre de mois pendant lesquels, les personnes vivant avec le VIH n’ont plus reçu leur traitement. Une attitude incompréhensible au regard des révélations sur les montants alloués dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Une situation qui montre clairement que l’Etat a privilégié le coronavirus au détriment des malades du Sida que Guy Patrick Obiang et sa clique sont en train de conduire tout droit au cimetière.

Bonne gouvernance: Quand Guy Patrick Obiang plaide pour l’orthodoxie financière mais tarde à publier le rapport de la gestion des fonds Covid-19

Le ministre de la Santé Guy Patrick Obiang Ndong refuse manifestement de faire publier le rapport de la Gestion des Fonds Covid-19. Il est sans doute freiné par les récentes révélations du Copil citoyen qui semblent l’incriminer. Une posture curieusement inexplicable pour une personne qui prône pourtant l’orthodoxie financière au sein de son administratio

Santé: Guy Patrick Obiang plaide pour une planification des dépenses liées à l’exécution budgétaire

Libreville, le 06 avril 2022-(Dépêches 241). Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Dr. Guy Patrick Obiang a instruit les responsables de son ministère de lui présenter dans les meilleurs délais un plan de dépenses liées à l’exécution budgétaire pour plus d’orthodoxie financière. Une façon très habile de tenter de redorer son image après les révélations de détournements supposés de la manne financière générée par la covid-19.

Rupture des antiretroviraux: Les PVVIH exposés à la mort sous l’indifférence du gouvernement

Depuis plusieurs mois, les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ne reçoivent plus leurs antirétroviraux. Certaines langues se délient au sein du ministère de la Santé et des Affaires sociales, affirmant que cette rupture serait due aux tensions de trésorerie que connaît l’État actuellement. Une explication qui laisse pantois certains observateurs, au regard des milliards de FCFA mobilisés pour la pandémie de Covid-19.