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Libreville, le 30 mai 2025 – (Dépêches 241). Après les révélations faites par Dame Aïcha Tsoumou concernant Alexandre Barro Chambrier, actuel Vice-président du Gouvernement, le Ministre de la Communication et des Médias Paul-Marie Gondjout, son épouse Chantal Myboto et son beau-père Zacharie Myboto, qui auraient sollicité des indemnisations auprès du […]
Libreville, le 22 mai 2025 – (Dépêches 241). Les récentes déclarations de la Présidente de l’Association « Réconciliation », qui regroupe les victimes des tragiques événements post-électoraux de 2016, ont profondément choqué l’opinion publique gabonaise. Selon Madame Tsoumou, l’actuel Ministre de la Communication et des Médias, Paul-Marie Gondjout, son épouse […]
Libreville, le 1er mai 2025 – (Dépêches 241). L’affaire Hervé Patrick Opiangah semble être, à n’en point douter, une véritable épine dans le flanc de la justice gabonaise, au point où, malgré les pressions qui s’exercent sur elle, celle-ci reste inexplicablement atone. C’est le sens de la récente interview des […]
Libreville, le 25 février 2025-(Dépêches 241). Dans une récente correspondance adressée aux Premiers Présidents des Cours, aux Procureurs, aux Présidents des Tribunaux et aux Commissaires Généraux à la loi, le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Paul-Marie Gondjout, demande sans détours, à ces responsables susmentionnés, la liste des magistrats […]
La chute du système Bongo-PDG au pouvoir pendant près de six décennies a fait naître au sein de la population Gabonaise de gros espoirs. Espoir de voir enfin la justice être rendue aux nombreux martyrs d’un système qui n’a brillé que par l’oppression, la dictature, les emprisonnements politiques, mais surtout espoir de voir la justice être rendue à propos de l’attaque sanglante du QG de campagne de Jean Ping, dans la nuit du 31 août 2016 à Libreville. Seulement, 8 ans après, même avec un nouveau Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, par ailleurs témoin oculaire de ce moment d’horreur, aucune instruction n’a été ordonnée pour établir les responsabilités des uns et des autres dans cette affaire.
Ce lundi matin, Paul-Marie Gondjout était l’invité du Journal Afrique de Radio France International. Le ministre de la Justice interrogé sur les procédures judiciaires en cours au Gabon, a révélé qu’il n’était pas exclu qu’Ali Bongo actuellement en liberté soit également poursuivi par la justice.
Hier lundi, le président de la République a reçu quelques responsables politiques de l’opposition, ayant participé à la dernière concertation nationale. Ali Bongo et ses hôtes ont évoqué les questions relatives à la vie politique et au fonctionnement de la démocratie gabonaise.
L’Union nationale initiale (UNI) semble disposée et ouverte à l’idée de travailler avec le pouvoir détenu par Ali Bongo Ondimba. Une inclinaison née d’un fragment de discours prononcé par Paul-Marie Gondjout himself, le 15 avril dernier, à l’occasion d’une sortie de sa formation politique. A l’heure où dans l’opposition, la vision est à la rupture avec le pouvoir en place et la quête de l’alternance au sommet de l’Etat, le gendre de Zacharie Myboto nage à contre-courant de cet objectif en ouvrant la porte à un arrangement avec le parti au pouvoir pour dit-il « gérer ensemble le Gabon ».
Au cours d’une cérémonie solennelle organisée ce samedi à Libreville, Chrystelle Okome Ndhong Mintsa et Prince Boudzanga ont respectivement été installés dans les fonctions de Déléguée nationale de la femme et Délégué national de la jeunesse de l’Union Nationale Initiale. Le tout, en compagnie des membres de leurs bureaux.
Créée à l’initiative Paul-Marie Gondjout au lendemain de sa défaite à l’élection de président de l’Union nationale (UN), l’Union nationale initiale (UNI) comme de nombreux partis gazelles, peine à exister sur la scène nationale. Et pourtant son président prétendait avoir une ambition politique pour le Gabon. Une ambition pour l’heure muette et totalement inexistante
